"Beautiful Bastard" de Christina Lauren

Titre

Beautiful Bastard

Auteur 
Christina Lauren

Parution
2013

Nombre de pages
400 (aux éditions Hugo Roman)

Genre
Chick Lit

Résumé

L’esprit vif, bosseuse et volontaire, Chloé Mills n’a qu’un seul problème, son patron : Bennett Ryan. Exigeant, direct, dépourvu de tact, ou d’une quelconque considération à l’égard d’autrui, il est absolument... irrésistible. Un salaud magnifique. Bennett retourne à Chicago après avoir séjourné en France pour jouer au sein de l’entreprise familiale qu’il dirige, un grand groupe de media, un rôle de premier plan. Rien ne laissait supposer que son assistante chargée de l’aider à distance lorsqu’il était à l’étranger, puisse se révéler être, cette sublime créature – dotée d’une innocence toute provocatrice et absolument exaspérante – avec laquelle il allait désormais devoir travailler chaque jour. Malgré sa réputation, Bennett n’est pas du genre à entretenir une aventure sur son lieu de travail. Mais Chloé est si séduisante qu’il envisage de faire une entorse à la règle – pour ne pas dire, la faire complètement voler en éclats – si c’est le seul moyen pour lui, de la conquérir, de se l’approprier, de la posséder. Alors que désir et attirance mutuelle ne cessent de croître jusqu’à un point limite, de non-retour, Bennett et Chloé doivent décider exactement ce qu’ils sont prêts à perdre ou à sacrifier, pour continuer à s’auto-posséder, l’un l’autre sans répit.

Analyse & Avis

Ce livre a fait le buzz il y a quelques temps et a été vendu à plusieurs millions d'exemplaires. Je me suis donc empressée de l'acheter pour voir ce qu'il en était et j'ai été un peu déçue. Ça ne vole pas plus haut qu'un roman de chick lit "classique", au contraire, ce n'est qu'un enchaînement de scènes érotiques qui arrivent souvent comme un cheveu sur la soupe n'importe quand et dans n'importe quel endroit, et cela prend le pas sur l'histoire en elle même et fait qu'on ne s'attache pas tellement aux personnages. (en même temps, dur de s'identifier à une fille qui passe son temps à se taper son patron dans tous les endroits clichés possibles : ascenseur, bureau...) 
Cela dit, ça se lit facilement. Pourquoi pas en livre de plage mais il ne faut pas s'attendre à de la grande littérature.